< Chapitre 4371 Chapitre 4371 Toujours souriant, Clément a indiqué : - Tu peux lui communiquer maintenant. J'y arriverai dans deux jours.

- Pas de probl! a assuré Axelle, je vais donner un coup de fil a son assistant.

Clément a proposé : Tu I'appelles directement. Essaie de te montrer assez condescendante, pour qu'il se sente flatté ! Axelle n'a pas pu se retenir d’éclater de rire : - Ouais, M. Clément. C'est clair! Je le contacte tout de suite! En mtemps, dans la Cité G au Pays C, le District Central, ou le loyer était tres élevé partout, regorgeait de gratte-ciel.

C’était le centre financier de la Cité G. Presque toutes les multinationales au monde y avaient créé leur succursale.

A I'intérieur d'un gratte-ciel, un hocorpulent observait avec joie le Port Victoria a travers les portes- fenétres, en fumant un cigare. Soudainement, on a frappé a la porte. L’'hoa crié sans se retourner : - Entrez ! Son assistant a poussé la porte et est entré. Voyant son patron afficher un rire radieux, il a rigolé : Monsieur, vous étes de trés bonne humeur aujourd’hui ! « Bien sQr! Margot a éclaté de rire et a dit en regardant son assistant : - Bolien, tu n'as pas oublié ce salaud d’Adolphe Rousselle ? L’assistant s'est cloué et a répondu sur-le-champ: - Non... Adolphe... Adolphe Rouselle, cet ingrat, ga fait plus de dix ans qu'il a disparu...

Margot a ricané: Non, ce truc était en fuite depuis vingt ans ! Je pensais que je ne pourrais pas le trouver de mon vivant. Dieu merci, il va retourner dans la Cité G! +10 Bonus > Trés choqué, assistant a demandé : - II... il ose rentrer ? Il veut mourir ? Margot s'est moqué : - Il a été arrété par le service d'immigration des Etats-Unis pour le séjour irrégulier. On va le rapatrier dans peu.

Le revoila apres s'étre caché a I'étranger des années! Tant mieux ! Petit a petit, il s'est mmis a fredonner : - A chacun son tour, c’est le retour...On a vieilli au temps joli. De nos quatre cents coups, un peu beaucoup. A chacun son tour, c’est le retour... Informé du rapatriement d’Adolphe, Margot avait trés bon esprit.

Depuis vingt ans, il avait de la rancune contre Adolphe pour sa trahison. Ainsi, il se réjouissait d’avoir I'opportunité de prendre sa revanche.

A partir d’hier, il avait br(ilé de voir Adolphe se rapatrier.

Une fois que celui-ci serait retourné, de nombreuses personnes se rueraient sur lui pour le tuer a tout prix, de maniére a se procurer la récompense que Margot avait clandestinement promise. Margot croyait que sa dignité serait sauvegardée a condition qu’Adolphe soit mort.

A ce moment-la, le portable de Margot a sonné.

Il a sorti le portable et a répondu avec un peu - Oui ? C'est de la part de qui ? A l'autre bout du fil, Axelle a placidement dit : d’indifférence : 1. Margot A? Je suis Axelle Maret du Nakappuis.

La-dessus, Margot a pris un air flatteur. Avec le cigare dans une main, le portable dans l'autre, il a respectueusement salué: - Bonjour, Mile Axelle ! Je vous admire depuis longtemps. Je voudrais chercher une occasion de vous rendre visite en personne ! +10 Bonus > Il a demandé avec angoisse: - A propos, je ne sais pas si mon assistant vous a clairement présenté notre entreprise. Nous avons la volonté d’établir un partenariat avec le Nakappuis. Est-ce que vous avez du temps de discuter avec moi ? Je vous prie dedonner une opportunité de rendre compte de nos avantages personnellement.

Margot considérait que ses richesses étaient beaucoup plus qu’Axelle, cette femanager professionnelle

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